La découverte d’un fauteuil du XVIIIe siècle nous incite à évoquer l’histoire du fauteuil roulant à propulsion manuelle. Il s’agit, en l’occurrence, d’un fauteuil de structure en bois avec dossier haut, à inclinaison réglable grâce à deux crémaillères.
L’assise est recouverte d’un coussin et il existe un dispositif garde-robe masqué par l’assise.
Sur les accotoirs, recouverts de cuir comme le dossier et le coussin d’assise, on remarque deux manivelles à rotation horizontale.
Grâce à un système d’engrenages et de roues dentées, la personne assise peut mobiliser elle-même son fauteuil en avant, à droite, à gauche ou en arrière.
Des tiges métalliques de transmission verticale, sont masquées à l’intérieur des supports d’accotoirs.
Le fauteuil comporte trois roues, deux roues avant pour la traction et une roue arrière pivotante permettant la rotation.
Deux barres métalliques, escamotables dans la partie horizontale des accoudoirs, sont utilisables pour poser une tablette devant la personne.
La suite est réservée aux adhérents. Déjà adhérent ? Se connecter
Consulter la suite ?
Débloquez tous les contenus réservés aux adhérents en rejoignant l’Académie Française d’Orthopédie